Thérapies, soins

Et s’il suffisait de changer ta manière d’utiliser ton regard pour diminuer ton stress ? Oui, tu as bien lu. Tout comme ta respiration, ton regard est un miroir fidèle de ton état d’esprit. Mais qu’est-ce que le stress ? Le stress est tout simplement une réaction physiologique de ton organisme pour mobiliser tes ressources et te permettre d’être en mode « alerte »; courir pour attraper ton bus, par exemple. Ce stress correspond à un certain état d’éveil et est positif et nécessaire pour la mise en mouvement. Cependant, si ce stress survient sans réel danger pour ton corps ou sans nécessité d’action, et s’il devient chronique, il peut devenir pathologique.

Lorsque ton stress s’accumule, ton système nerveux sympathique s’active. Tes pupilles se dilatent, ton cristallin (la lentille naturelle de l’œil) se déforme, et tes globes oculaires convergent légèrement vers ton nez, modifiant ainsi ta profondeur de champ et réglant la mise au point sur une petite zone située juste devant toi. Cette vision focale active le système nerveux sympathique. De multiples neurones de ta moelle épinière s’activent en même temps, libérant un ensemble de neurotransmetteurs et de substances chimiques qui suscitent un état d’agitation, te donnant envie de bouger. Ta respiration s’accélère, ta vision se rétrécit, ton champ de perception se réduit, et soudain, ton corps tout entier entre en mode « alerte », prêt à réagir.

Mais voici le secret : en élargissant intentionnellement ton regard, en ouvrant ton champ de vision, tu offres à ton esprit un espace pour respirer, pour se libérer de cette emprise. Imagine-toi dans une posture, peut-être le guerrier II ou la titthibhasana. Prends un instant pour observer ce que tu ressens : où se trouve ton attention ? Y a-t-il de la tension ? Ensuite, change de focus. Si tu es à l’intérieur, laisse ton regard se poser doucement sur quelque chose de lointain, comme à travers la fenêtre. Si tu es dehors, regarde l’horizon. Respire profondément, détends-toi, et laisse-toi envahir par ce moment de douceur.

Lorsque tu reviens à ta posture, note cette nouvelle légèreté, ce calme subtil qui s’installe. C’est incroyable de voir comment un simple « reset » visuel peut transformer non seulement ta pratique de yoga, mais aussi ton état d’esprit au quotidien. Nos yeux, ces extensions de notre cerveau, sont des outils puissants pour influencer notre bien-être. En élargissant notre champ de vision, on stimule des circuits cérébraux qui activent le système nerveux parasympathique, permettant ainsi de diminuer ton stress.

J’ai depuis quelque temps intégré cette approche au sein de ma pratique et suis convaincue de tout son potentiel. Parfois, ce sont les plus petits gestes, les plus simples ajustements, qui créent les plus grands changements. En laissant ton regard s’ouvrir, tu offres à ton esprit une véritable pause, une chance de te reconnecter à ton calme et à ta paix intérieurs.

*Disclaimer

“Je ne suis ni médecin, ni compétente pour prétendre que l’article qui suit est la vérité absolue. Cela reste mon ressenti et mon expérience de la vie, du corps, du mouvement, et de l’émotion. Cet article ne remplace en rien tout avis médical, prends-le avec de la hauteur et de la distance.”

Il y a une quinzaine d’années, j’étais dans un cours de yoga en posture du pigeon (étirement de la hanche) lorsque le prof a dit: “Vos émotions sont stockées dans vos hanches”. Cela m’a beaucoup interpelée. Les hanches? Et pourquoi pas la nuque? pourquoi pas les épaules? Cela a été le début de mon introspection: Comment se fait-il que notre corps physique stocke des émotions et surtout, quelle émotion est liée à quelle zone du corps? Je te décris mon processus de recherche et d’apprentissage tout au long de ces années: Un mélange de médecine chinoise, de sciences des fascias, de physique quantique et de MEGC (Méthode énergétique globale du corps). Le tout, saupoudré de beaucoup de curiosité.

Avant de comprendre la relation émotion-corps physique, allons dans un peu d’anatomie. J’ai écrit cet article très simplement pour qu’il soit compréhensible par tous les publics.

Prends le corps non pas comme un bout de viande, mais pour bien plus qu’un corps physique. Notre structure physique présente sans cesse des messages, reflétés par des douleurs, des symptômes ou encore des pathologies. Des fois, ces symptômes ou pathologies sont clairement expliquées par d’autres sources physiques. Mais des fois, l’apparition de kystes, de fibromes, l’endométriose ou certaines autres tensions dans le corps ne sont pas explicables mécaniquement par la science. Et pourtant, lorsque le corps physique présente une problématique, c’est qu’il y a bien une raison. Par exemple, lorsque la structure osseuse se déplace lors d’une scoliose, c’est que ce corps physique répond bien à quelque chose, ou suit bien un mouvement. Il y a une cause à tout.

C’est là que je me suis passionnée pour la science des fascias. Les fascias sont des tissus conjonctifs (imagine la toile d’araignée de spiderman) qui sont absolument partout dans notre corps et enveloppent tout. Ils ont été délaissés par la science depuis bien trop longtemps, considérés comme du tissus inutile lors des opérations. Il y a une vingtaine d’année, le chirurgien français Jean Claude Guimberteau a commencé à y prêter attention en demandant à ses patients l’autorisation d’observer ce tissus vivant pendant les opérations de la main ou autre. Il s’est rendu compte que ce tissus fascinant était bien plus intéressant qu’un simple contenant.

Le fascia est ce qui est responsable de la forme de notre corps. Imagine le comme des câbles qui changent en permanence leur tension en fonction de la surface sur laquelle on marche ou la charge qu’on porte pour que le corps puisse s’adapter aux nouveaux mouvements. Avec le temps, des mouvement identiques répétés, le corps prends cette nouvelle forme à cause de l’amas de fascia qui se construit.

“FACT: Savais tu que le fascia est plus fort que l’acier?”

Le fascia, n’a pas la fonction d’élasticité comme les muscles, cependant il a la capacité de se “ventouser” et de former plusieurs couches ou de se “dé-ventouser “ et devenir plus fluide. Il a également un liquide qui circule le long de ses filaments, appelé ECM (Extra-cellular-Matrix) qui des fois est très fluide et des fois très gluant, ou même compacte. Ce qu’il y a d’intéressant, c’est de comprendre à quel moment l’ECM devient épais et donc le fascia rigide et à quel moment il devient fluide et donc le fascia fin et souple?

Le fascia réagit aux vibrations par un procédé physique que j’explique en formation de yin et fascia therapy. Cela veut dire qu’à chaque vibration, le fascia réagit et envoie un message aux cellules qui à leur tour viennent changer la tenségrité le long des tissus du fascia (Cela veut dire que la tension le long des “câbles” des lignes myofasciales change). En fonction de la vibration reçue, le fascia devient plus rigide ou plus souple.

Qu’est-ce qu’une vibration? Tout. Tout est vibration. Cela veut dire qu’on a un système de communication distinct de notre système nerveux. C’est ce qui explique pourquoi le corps se rétracte tout seul ou se détend lorsqu’on entend une musique, un son, qui nous convient ou non. C’est aussi ce qui explique pourquoi lorsqu’on rencontre une personne pour la première fois, des fois, elle est souriante, gentille, bienveillante, mais on ne sait pas pourquoi, on ne veut pas être autour d’elle. C’est qu’une vibration perçue par nos fascias rétracte notre corps sans passer par le système nerveux. C’est ce que moi j’appelle le sixième sens. Et c’est aussi la raison pour laquelle je fais tellement confiance en mes ressentis, et que je n’essaie pas de les comprendre intellectuellement.

“Tes cellules comprennent plus vite que ta raison”

C’est par cet exact même procédé que les émotions se stockent dans notre corps. Une émotion est une vibration, et si elle n’est pas éliminée, elle crée un amas de fascia dans le corps, qui répond à une vibration de cristallisation. En yin yoga, c’est exactement ce qu’on essaie de libérer. on tient les postures longtemps, au min 3 min en s’abandonnant à la gravité car pour atteindre le fascia, le muscle ne doit pas être sollicité. C’est aussi la raison pour laquelle lorsqu’on est dans une posture de yin qui vise une zone où le fascia est cristallisé, au moment de sa libération on peut ressentir de la chaleur, de l’électricité qui afflue ou même des nausées, des tremblements. Ce sont toutes des réactions du corps qui indiquent qu’une cristallisation s’ouvre dans le corps.

Ok mais.. qu’en est-il des douleurs et des correspondances émotionnelles?

C’est naturellement que je me suis dirigée vers la médecine chinoise. Cette science ancestrale m’a donnée une partie des réponses. Les méridiens de la médecine chinoise sont des canaux énergétiques dans lesquels circulent le qi. Ce qu’il y a d’intéressant, c’est que j’ai observé que les méridiens de la médecine chinoise et les lignes myofasciales se ressemblent, certaines sont même similaires. C’est la raison pour laquelle j’ai décidé d’assembler les deux sciences dans la formation que je donne, car elles se complètent dans une vision du mouvement.

La médecine chinoise associe aussi les méridiens à certaines émotions, et à certains organes dans le corps. Cette information est un début de: Où nos émotions se stockent en fonction de leur nature dans le corps. En fonction de la zone de tension dans le corps, on peut en déduire quelle est la ligne myofasciale affectée et quel est le méridien de la médecine chinoise impacté. La correspondance émotionnelle en est déduite.

Ensuite, je me suis penchée sur la MEGC de l’académie Iyane Sidibé. Leur méthode approche le corps en y associant chaque dysfonctionnement physique comme étant un message pour soi-même. Le corps répond à une dualité. Plus on s’écarte de sa réalité de vie, plus le corps essaie de nous le signaler. Afin de réguler toutes les tension du corps, il est primordial de réguler ses émotions et plus globalement son état d’esprit. Un corps avec des douleurs nous explique dans certains cas que des émotions de colère, de peur, de culpabilité ou autre sont venus se cristalliser dans le corps (pour moi, via les fascias). L’Académie a pour souhait que chaque personne puisse identifier les événements douloureux au sein de nos générations et de nos vies, de pacifier et développer des mécanismes plus saints et positifs afin de pouvoir vivre avec plus de paix et de sérénité en soi, et par conséquent moins de douleurs. Si nous comprenons le pourquoi de nos maux du corps, alors nous saurons quoi faire ou ne pas faire pour ne pas répéter et alimenter le moteur négatif, initial à la douleur. Ils ont établi un protocole qui permet d’associer une zone du corps avec une émotion spécifique suite à des années d’expérience.

En conclusion:

Ne t’en fais pas si les concepts scientifiques et les explications t’échappent, il faut plus qu’un article pour le comprendre. Ce qu’il y a d’important c’est:

• Notre corps physique répond aux vibrations via les fascias
• TOUT est vibration.
• Les vibrations peuvent être des sons, des émotions, des pensées (d’où l’importance de la gratitude et des pensées positives)
• Les émotions ne sont PAS stockées uniquement dans tes hanches, mais peuvent créer des cristallisations partout où il y a du fascia, soit dans TOUT le corps
• Les douleurs sont des messages du corps tentant de communiquer avec notre conscience
• Les douleurs nous demandent de changer notre comportement
• Plus on s’écarte de sa réalité de vie, plus le corps essaie de nous le signaler.
• Pour réguler les tensions dans le corps, il est primordial de réguler ses émotions
• Tes cellules (ressenti) comprennent plus vite que ta raison (Et c’est prouvé scientifiquement :D)

Qu’en pensez vous?

Plein d’amour ♥

*Disclaimer*

Ce qui suit est seulement l’expérience de mon parcours, et ma vérité, si je blesse certaines techniques, sachez que c’est nullement mon intention et je m’en excuse d’avance, chaque opinion et expérience sont justes et je n’affirme pas que je détiens la vérité, je ne rentrerai donc pas dans les débats de quelle technique de soin est la meilleure ou non, je partage juste ce qui me parle à moi. Et aussi, j’en ai marre de me taire sur les réseaux, et sur toutes ces déviances dans le monde de l’énergétique et même du yoga. On a oublié l’origine.

Pendant toutes ces années, la raison pour laquelle je me suis lancée à me former c’est parce que je cherchais des réponses à une question précise: Pourquoi l’humain souffre-t-il tant, pourquoi tant de maladies dont les médecins ne connaissent pas la source et surtout, pourquoi les maladies ou schémas se répètent au sein d’une famille, est ce que notre destinée/vie est déjà tracée ou pouvons nous l’influencer par la connaissance? Et pourquoi l’humain alimente son propre malheur, même s’il a envie d’être heureux? J’ai commencé ma quête en m’observant moi et mes propres problématiques à la sortie de l’adolescence comme la scoliose, le syndrome polykystique des ovaires, la boulimie, les fibromes, etc toutes des conditions où quand je demandais « d’où ça vient? » personne ne pouvait me répondre.

Alors je suis entrée dans le monde du yoga avec mes premières formations en Inde, et cela a été une bouffée d’oxygène car ces formations et le yoga m’ont permis d’apaiser mon corps physique et mon mental beaucoup trop dans le feu afin de commencer à nettoyer la poussière sous le tapis. En général, à la sortie d’un 200h, c’est le stade où on pense avoir tout compris, alors qu’en réalité on débute seulement.

On prépare le corps et l’esprit à entamer un travail. Si le corps est stagnant, et l’esprit encombré, c’est beaucoup trop violent que de se poser des questions existentielles, et c’est là que l’humain va vers des distractions et se ment à lui même. Alors un 200h était la porte d’entrée dans ce chemin vers moi même.

Petite parenthèse: le yoga, la vraie philosophie du yoga, l’ancestrale, pas la moderne qui est devenue division entre tous les différents courants et jugement, peut nous amener les réponses auxquelles je cherchais, mais notre condition d’humain du 21eme siècle est bien trop indiscipliné, c’est pourquoi j’ai eu besoin de passer par d’autres canaux.

Ensuite, j’ai instauré la discipline d’hygiène de vie physique et mentale, et j’ai très vite ressenti et compris qu’il y avait un autre facteur qui influençait ma vie: l’énergie. J’observais des changements de comportement énergétique à travers la respiration, la méditation, et d’autres outils, qui soit diminuaient mes pathologies ou les accentuait. L’énergie était là, elle était réelle, puisque je la ressentais. Alors j’ai cherché à en comprendre plus sur l’énergétique et son fonctionnement, son influence sur le corps physique, mais en 10 ans je n’ai pas trouvé de formation qui me correspondait pour les raisons suivantes:

J’ai essayé le reiki, les magnétiseurs, les chamanes, breathework, des sorties de corps kundalini, (Oui tu as bien lu, le breathework et les séances kundalini peuvent être dangereuses) la méthode osho, j’ai même été voir une fée, des sorciers, et d’innombrables techniques énergétiques que je ne vais pas nommer ici. Je crois que j’ai vraiment tout fait par curiosité de comprendre. J’ai fait mon apprentie sorcière pendant longtemps. TOUTES avaient ces points communs qui me dérangeaient :

– Ils faisaient un soin sur toi, tu sortais de là tu te sentais mieux (normalement) mais tu n’avais pas compris ce qu’il s’était passé. Pas d’autonomie.

– Le soin était momentané, après quelques semaines ou mois le déséquilibre revenait

– AUCUN des soignants ne pouvait expliquer d’où son « pouvoir » venait et comment il avait accès à des informations sur notre existence

– Beaucoup affirmaient que c’était un don et donc quelque chose d’exclusif.

– La plupart avaient démarré leur carrière dans l’énergétique suite à un moteur négatif (burn out, etc)

– TOUS avaient eux même des problématiques, des pathologies notamment dont je suspecte faire suite au manque de discernement dans les soins qu’ils donnent

– TOUS affirmaient détenir la vérité

– Aucun ne pouvait répondre à la question: « comment faites vous pour être sûr que la séance d’avant n’a pas un impact sur vous ou sur moi? »

– Tous, avaient besoin d’un grigri, une pierre ou quelque chose pour se protéger

Ce qui me dérange dans ces points, c’est qu’en aucun cas cela amène de l’autonomie chez l’aidé. Il devient dépendant de l’énergéticien ou thérapeute. Dans certains cas, le soignant crée de la fascination chez le patient en gardant une forme de mysticisme et de secret sur ce monde énergétique. Et la fascination, c’est le contraire du discernement.

Il y a aussi le fait que certaines de ces formations peuvent être acquises en une semaine, sous condition de paiement. Tout le monde est devenu maître Reiki, et certaines ne demandent pas à ce que l’on fasse un travail réel sur soi d’abord, car on aurait d’un coup beaucoup moins d’élève, et moins d’argent.

Il y a une part de problème social: les gens veulent être guéris immédiatement et ne veulent pas comprendre ni travailler sur eux.

L’erreur du thérapeute, c’est qu’il répond à cette demande, car il veut des séances, il veut être payé pour pouvoir vivre alors il a la pression de donner un résultat énergétique vite au patient pour qu’il revienne. Mais cela ne fonctionne absolument pas comme ça.

Le travail DOIT être fait par chacun de nous, et cela prend du temps, il n’y a pas de miracles, que de la poudre aux yeux qui entretient l’illusion.

Ce qui m’a aussi dérangée, c’est que j’ai vu beaucoup de dangers dans le monde mystique. L’énergie est réelle et si elle n’est pas correctement intentionnée avec un cœur pur, alors elle peut nuire. Le premier principe de la médecine, avant même de soigner est: « ne pas nuire »

Nous avons une très grande responsabilité en tant que soignants, celle d’être objectifs et faire attention aux vérités qu’on asseoit lorsqu’on est face à la vulnérabilité du patient. La prise de pouvoir est là, pas très loin et titille notre ego constamment. Il faut un vrai travail sur soi pour réussir à rester honnête et humble.

Cependant, j’ai tout de même beaucoup appris de chacune de ces personnes. certaines étaient malveillantes (il y en a un qui après m’avoir droguée m’a quand même dit que pour redresser ma scoliose il fallait qu’il me pénètre) et d’autres avec un grand cœur et une intention pure, mais elles mêmes perdues et à la recherche de reconnaissance. Elles ont toutes contribué à mon cheminement et ma quête. Ce qui était absolument évident: l’énergie avait un réel impacte sur la structure physique. Mais comment cela fonctionne-t-il et y a t il réellement une part de mysticisme réservée à une élite qui ont reçus un don?

La seule technique qui m’a inspirée confiance était la kinesiologie, que je trouve magnifique, mais là encore pas de correspondance pour des raisons techniques.

Suite à cela, j’ai continué à me former mais dans la science, pour mieux comprendre la structure physique jusqu’au jour où je tomberais sur une formation dans le domaine énergétique qui me correspondrait. J’ai fait de multiples 200h, 300h, modules chez ASCA de nutrition, et d’anatomie et physiologie, médecine Chinoise, la science des fascias, yin yoga, thérapie du yoga avec des docteurs en Inde, philosophie taoïste, neurosciences du mouvement etc.

Jusqu’à ce que je fasse une séance MEGC.

Pour la première fois, j’entendais:

– tout le monde est capable de développer sa sensibilité à l’énergie

– Vos patients doivent être autonomes et comprendre leur séance

– Ne faites pas le travail à leur place, pour que ce soit efficace dans le temps il faut respecter le temps de chacun et attendre qu’ils entament eux le travail

– Si vous fascinez vos patients, vous prenez du pouvoir sur eux

– Faites le travail sur vous avant de vouloir aider, on ne peut aider sans discernement

– Est ce que vous savez profondément pourquoi vous voulez aider? Le moteur est il positif ou négatif?

– Vous ne devez dépendre d’aucune pierre de protection ou de grigri, c’est votre lumière intérieure qui vous protège et vous suffit. à vous de la nourrir.

– Nous devons travailler main dans la main avec la science, tant que nous nous réfutons les uns les autres, nous ne serons jamais dans une intention de soin réelle. Le corps n’est pas que physique, ou que énergie, ou que émotion. Il est les trois. Travaillons ensemble.

– Même si vous avez le pouvoir de régler le problème énergétique immédiatement, et que vous avez accès à des informations sur la vie des patients, ne faites pas le travail pour eux. Expliquez leur, et attendez qu’ils actionnent. Sinon, vous allez être impactés vous énergétiquement et juste retarder ou déplacer le problème chez le patient.

– Ils ont répondu à ma question sur les schémas répétés au niveau transgenerationnel notamment en me parlant de l’épi génétique

– La MEGC donne accès à des informations très précises sur nos vies, la source de tout dysfonctionnement émotionnel ou pathologique mais ne rendent pas cela mystique, ils t’expliquent comment ils parlent avec ton corps et c’est le corps qui répond. Et on est tous capables de le faire.

– Chaque maladie ou dysfonctionnement est un message que le corps nous donne. Si on prend la pilule ou effectuons une action énergétique pour le patient sans qu’il prenne son message, cela réapparaîtra.

Et je me suis dit: voilà. Merci. Pas de prise de pouvoir ici. Une démarche sincère ici. J’ai aussi observé que certains n’étaient pas satisfaits avec cette méthode car ils voulaient être guéris sans se poser de question. Même si la MEGC peut le faire, elle ne le fera pas, car elle sait que ce serait déplacer le problème. Je régule ton anorexie, elle disparaît, tu n’as pas pris ton message, alors la sclérose en plaque apparaît quelques temps après. On déplace le problème.

En quelques mots, c’est un protocole qui traduit les messages du corps, traite l’énergétique, l’émotionnel ET la structure physique, et nous ramène à l’essentiel. On comprend enfin la source des problématiques, après, c’est une question de choix et de volonté de prendre son message et faire le travail, ou fermer les yeux et prendre des traitements qui font disparaître les symptômes pour avoir l’impression que le dysfonctionnement n’est pas là.

Cela fait un peu plus d’un an que j’ai démarré cette nouvelle formation et que je fais des connexions incroyables avec la médecine chinoise, la science des fascias, l’anatomie appliquée, l’ayurvéda, tout se rejoind, tout se complète. Je sais aussi que je n’aurais pas pu faire cette formation avant, car j’avais vraiment besoin de ces 14 dernières années de travail sur moi afin d’apaiser mon mental, pour pouvoir accéder au coeur, et encore, je suis toujours sur le chemin.

J’ai hâte de voir où cette formation va ensuite me mener, et la continuation de ma quête.

Pour ceux que ça intéresse, la formation que je suis depuis 2 ans est à l’académie Iyane Sidibé :

Académie Iyane Sidibé Suisse (academie-iyanesidibe.ch)